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Jean-Pierre SERRA, Ses compétences et sa méthode de travail
Ses activités professionnelles l’ont amené à diriger des structures importantes
Il n’a pu progresser dans ses différentes fonctions que par un engagement total, une maîtrise des techniques de gestion et d’organisation et une importante capacité à déléguer.
Il a mis en place ce mode de fonctionnement en 1995, en s’appuyant sur un binôme « élu/fonctionnaire » pour structurer les grandes domaines d’intervention de la Mairie et donner à chacun, un espace de responsabilité et de délégation.
Disposant d’une grande capacité de travail, debout à 5 heures tous les matins, il aime « bosser » à un rythme indispensable pour mener de front carrière professionnelle et mandats électifs.
Maîtrisant toutes les technologies de l’information et de la communication, branché en permanence, son PC portable l’accompagne partout et lui permet de se connecter avec ses différents « mondes » de n’importe quel point et à n’importe quelle heure pour une réactivité immédiate …
Organisé, méthodique, il s’impose une discipline et une hygiène de vie exemplaires (il ne boit que de l’eau).
Exigeant avec lui même, autant qu’avec les autres, il demande beaucoup, mais uniquement pour faire mieux et apporter plus.
Il aime relever les défis et piloter les grands projets d’avenir.
Il affectionne certaines citations, porteuses de sens, comme celle-ci :
« Nul ne s’est jamais perdu sur le droit chemin. » (GOETHE).
Il a d’ailleurs cité quelques strophes de l’un de ses poèmes favoris « Si » de KIPLING, dans son discours de fin de mandat en 2001.
Il a laissé dans son bureau de Maire, avant de le quitter, cette citation attribuée à J. CLAVERIE :
« Tout homme, qui fait quelque chose, a contre lui :
ceux qui voudraient faire la même chose,
ceux qui font précisément le contraire
et surtout la grande armée des gens beaucoup plus sévères,
qui ne font rien. »
ou encore celle-ci, qui revient souvent dans ses propos :
"Tu peux discuter avec celui qui sait, tu peux enseigner à celui qui ignore,
mais Bouddha lui-même ne saurait convaincre celui qui croit savoir." ... »
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