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| Vendredi 11 Avril 2025 - Nous fêtons: Stanislas |
 -- Vu sur FaceBook (classé par date) --
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10/11/2013 Bonjour, Ce message matinal en ce dimanche 10 novembre 2013, pour vous faire partager un moment de pure magie et d’intense émotion, que j’ai découvert sur la page Facebook de l’un de mes amis. Il s’agit de la vidéo du final du concert organisé le 26 décembre 2012 au Kennedy Center de Washington, à l’issue de la cérémonie qui a conduit le Président des Etats-Unis, Barak OBAMA, à honorer pour leur contribution à la culture américaine, les membres de l’un des groupes mythiques des années 70 et 80 : LED ZEPPELIN. Ce qui est fabuleux dans cette version du groupe HEART (créé dans les années 70 par les deux sœurs WILSON, Ann et Nancy) de l’incomparable « Stairway To Heaven » (qui pour moi reste l’une des 10 plus belles compositions de ces dernières décennies et l’un des hymnes de notre génération) c’est : • d’une part, l’interprétation très fidèle (voix, guitares, ...) mais aussi les arrangements avec des chœurs, des cuivres et des cordes, qui subliment littéralement ce morceau et lui donnent une dimension aussi étonnante qu’émouvante, • d’autre part, la présence à la batterie de Jason BONHAM, qui n’est autre que le fils du légendaire batteur de LED ZEPPELIN, John « Bonzo » BONHAM, mort prématurément à 32 ans en 1980, celui dont Jimi HENDRIX a dit « qu’il avait un pied droit comme des castagnettes ! » Ces images traduisent merveilleusement la surprise des trois derniers membres du groupe encore vivants, de découvrir Jason à la batterie en cette soirée honorifique et surtout l’émotion qui est la leur en le voyant arriver sur scène ... Emotion perceptible tout au long du morceau ... et qui monte crescendo en intensité, avec en prime à la fin, quelques larmes de Robert PLANT ... Voici le lien : http://www.youtube.com/watch?v=8e2fJfiddx4 A voir et à revoir ... A savourer sans modération ... @ tout de suite, car pour ce qui me concerne, ce morceau me renvoie à l’un des grands moments de ma vie musicale et je souhaite vous le faire partager ... JPS |
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Bonjour (2),
En effet, il y a bien longtemps, en octobre 1972, nous avions décidé avec l’un de mes amis roquebrunois de nous rendre à Montreux pour assister aux deux concerts que donnait le groupe les 27 et 28, dans la salle mythique du Casino ... Celle-là même qui quelques mois plus tôt, avait été ravagée par les flammes, ce qui inspirât à un autre groupe de ces années-là, DEEP PURPLE, leur titre de référence « Smoke On The Water » s’ouvrant sur ce riff de leur guitariste Ritchie BLACKMORE, devenu aussi célèbre que celui de « Satisfaction » des STONES ou de « Whole Lotta Love » de LED ZEP ! Le premier soir, nous étions dans les premiers rangs, mais le lendemain, nous avions patienté toute l’après-midi pour nous placer au premier, afin de savourer après la « claque » de la veille, l’un des meilleurs concerts du groupe, alors au faîte de sa gloire, au mieux de sa forme et maîtrisant parfaitement son sujet ... Avoir Robert PLANT et Jimmy PAGE (et ses guitares !!!) à quelques mètres, durant ces deux fois deux heures, dans cette salle mythique, au milieu d’un public « européen », sans excès, partageant avec ferveur ces moments fabuleux, reste des moments d’exception et d’intense émotion ... Au-delà de la performance des deux leaders du groupe, appuyés par leur bassiste John Paul JONES et leur batteur John BONHAM dont le jeu « reste un modèle », ce qui m’avait frappé, c’était la qualité de la restitution sonore ... Quand ils ont ouvert le concert avec « Rock’n Roll », on a tous eu l’impression d’entendre le disque ... Il est vrai que durant les « longues » heures qui avaient précédé le concert, leur ingénieur du son (Andy JOHNS je crois ?) avait pris énormément de temps à faire les « balances » et plus particulièrement à régler la sonorisation de la caisse claire et de la grosse caisse de la batterie de Bonzo ... Pour vous faire partager l’ambiance de ce concert du 28 octobre 1972, je ne vois rien de mieux que de vous inviter à lire l’article de Serge DUMONTEIL, journaliste à Pop Music, l’une des revues des années 70, qui a été reproduit sur son site, par « StevieDixon.com - Histoire de la presse rock en France - StevieDixon.com ». Voici le lien pour y accéder : http://www.steviedixon.com/Presse/LedZep.html Et voici la « playlist », comme on dit aujourd’hui de ces deux concerts : 27 octobre 1972 : 1/Rock And Roll 2/Black Dog 3/Over The Hills And Far Away 4/Misty Mountain Hop 5/Since I've Been Loving You 6/Dancing Days 7/Bron-Yr-Aur Stomp 8/The Song Remains The Same 9/The Rain Song 10/Dazed And Confused 11/Stairway To Heaven 12/Whole Lotta Love (medley inc. Let's Have a Party, I Need Your Love Tonight, Heartbreak Hotel) 13/Immigrant Song 14/Heartbreaker 15/Organ Solo/Thank You. 28 octobre 1972 : 1/Rock And Roll 2/Black Dog 3/Over The Hills And Far Away 4/Misty Mountain Hop 5/Since I've Been Loving You 6/Dancing Days 7/Bron-Yr-Aur Stomp 8/The Song Remains The Same 9/The Rain Song 10/Dazed And Confused 11/Stairway To Heaven 12/Whole Lotta Love (medley) 13/Immigrant Song 14/Heartbreaker 15/Organ Solo/Thank You. Je n’ai plus jamais pu revoir LED ZEP en concert, car leur concert à Marseille le 29 mars 1973 fût annulé comme celui de Lille le lendemain d’ailleurs ... J’avais pourtant mon billet pour ce spectacle et avais fait le déplacement à Marseille ce soir-là pour partager ce moment avec mes copains ... Aussi, je ne peux que vous inviter à écouter et réécouter, la version « studio » de ce monument qu’est « Stairway To Heaven », cet hymne intergénérationnel, que ce soit pour la voix de PLANT, pour les arpèges ou le solo de PAGE, pour les parties de JONES à la basse et au piano Hohner, mais aussi et surtout pour la performance de « Bonzo » BONHAM, notamment dans la partie rythmée de la fin du morceau ... HENDRIX avait bien raison quant au talent de ce batteur, dont la disparition prématurée a signé de façon irréversible la fin de ce groupe mythique de la musique contemporaine ... Bon dimanche @+ JPS |
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Bonjour (3),
Après vous avoir invité à faire un « tour au paradis » en partageant ce « Stairway To Heaven » (NDLR : escalier vers le ciel/le paradis) d’anthologie, je me dois tout de même de vous ramener sur terre, voire plus bas, en raison de l’actualité médiatique ... Je n’irai pas jusqu’à vous inviter à emprunter une « Highway To Hell » (NDLR : autoroute vers l’enfer) pour faire référence à AC/DC, l’un des groupes qui se sont largement inspirés de LED ZEPPELIN, mais c’est certainement le sentiment que vont avoir les contribuables roquebrunois qui auront lu l’édition varoise de l’Express de cette semaine ... et plus particulièrement la double page centrale consacrée au Maire de Roquebrune ! En effet, c’est une véritable descente aux enfers, qui nous est proposée dans le dossier spécial de 16 pages : « Var : Main basse sur le littoral » de l’édition varoise du magazine L’Express. Nombreux ont été ceux qui ont été alertés par différentes pages Facebook comme celle-ci : https://www.facebook.com/Indignes.Roquebrune?fref=ts ou encore par certains blogs comme celui-ci : http://roquebrune.centerblog.net/510-ombre-de-la-corruption ou par certains sites comme celui-ci : http://www.contribuablesroquebrunois.com/#ACCR sur lequel vous retrouverez aussi des nombreux dossiers très bien documentés et étayés, et qui ont donc acheté le n° 3253 de la semaine du 6 au 12 novembre 2013. Nombreux ont aussi été, ceux qui se sont rendus sur le site internet de l’hebdomadaire, où un extrait a été mis en ligne sous le titre : " A Roquebrune-sur-Argens, Luc Jousse cerné par la justice "
Par Hélène Constanty, publié le 06/11/2013 à 13:08 L'étau se resserre autour de Luc Jousse, le maire UMP de Roquebrune-sur-Argens, impliqué dans de nombreux dossiers judiciaires. La campagne pour les municipales s'annonce violente. En savoir plus sur : http://www.lexpress.fr/actualite/a-roquebrune-sur-argens-luc-jousse-cerne-par-la-justice_1297198.html Dans l’édition « papier » du magazine, la lecture des deux pages consacrées à Roquebrune est encore plus édifiante ... Celle de l’interview de Mme Danielle DROUY-AYRAL, Procureur de la République depuis 4 ans à Draguignan, l’est tout autant ... surtout lorsqu’elle fait référence à la faiblesse des moyens affectés à l’instruction de ces affaires et aux enquêtes à mener par les services de Police et de Gendarmerie. Seule note positive, si l’on peut dire, dans l’une des réponses de Mme le Procureur : « Dans le cas de Roquebrune-sur-Argens, le dossier est bien étayé. Mais il faudra du temps. Ce genre d’enquête est longue, avec d’épais documents à éplucher et de nombreuses personnes à entendre. » Une édition varoise de L’Express à ne pas manquer donc ... S’il en reste encore chez les marchands de journaux du secteur ! Bonne lecture @+ JPS |