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26/09/2013

En ce matin du 26 septembre, je tiens à vous faire partager un article de presse, publié ce même jour qui était un dimanche en 1993 et qui avait eu le don de mettre mon oncle Yves SERRA dans une colère noire.
En effet, après avoir titré à la Une « La Commune orpheline après le décès d’André CABASSE. Personne n’ose évoquer sa succession », le journaliste Philippe ISSALIS, dont la plume était souvent « décapante » développait en page départementale, une argumentation qui nous mettait en concurrence pour la « succession » de Dédé ...
Voici la Une ...

26-09-01



Alors que pour respecter le deuil de Dédé et nous consacrer à l’organisation de ses obsèques, nous avions décidé de façon unanime de ne pas évoquer sa succession avant de l’avoir accompagné à sa dernière demeure, le journaliste Philippe ISSALIS, bien connu pour ses analyses aussi pertinentes que dérangeantes, mettait sur la place publique un sujet qui n’aurait pas du l’être ... sous le titre « André CABASSE : difficile succession »
De plus, comme vous pourrez le lire dans son analyse, il faisait état d’une concurrence entre mon oncle Yves et moi-même, ce qui bien évidemment n’était pas le cas ...
Yves l’a d’autant mal pris, qu’il était depuis le jeudi dans un état de peine et de douleur immenses, car ses liens d’amitié et d’affection avec Dédé dépassaient tous ceux des autres amis et/ou compagnons de route.
Ils avaient été inséparables durant plus de 16 ans ... Un binôme redoutable par leurs facondes respectives, leurs profils assez similaires de provençaux et roquebrunois, fiers de leurs racines ancrées dans cette plaine et au pied de ce Rocher.
Leur complicité au quotidien, dimanches et jours fériés compris, était légendaire ...
Ils étaient omniprésents en Mairie comme sur le terrain ...
Leur « génie du relationnel » comme je le répétais souvent, avait contribué à cette popularité qui dépassait largement le cercle fermé des « vieux roquebrunois » et qui s’était étendue dans les autres quartiers, aux Issambres comme à la Bouverie ...
Yves, qui depuis longtemps, œuvrait pour que je me positionne derrière Dédé, ne pouvait donc admettre qu’on puisse laisser penser qu’il avait, pour lui, une telle intention ...
Je vous laisse découvrir ces lignes et vous invite à vous replacer dans le contexte de l’époque ... Elles vous permettront ainsi de mieux comprendre comment les choses se sont passées, car hormis le fait que nous avions décidé de reporter ce « sujet » au mardi soir après les obsèques de Dédé, ce que rapporte Philippe ISSALIS sous sa plume « acéré » reflète assez bien le contexte de ces moments là ... D'autant qu'il livre ses lecteurs, le surnom que l'on m'avait attribué à l'époque, celui de "Prince Noir" !
Je reviendrai donc sur ce qui s’est réellement passé après, c'est-à-dire à partir du mardi soir où nous nous sommes réunis entre adjoints chez Pierre GINESTET aux Issambres pour évoquer la succession de Dédé ...
Auparavant, je vous aurai remis en mémoire, l’hommage que nous avons rendu à notre Maire, le dimanche 26 et le lundi 27 septembre 1993 ... Voici 20 ans !
JPS
26-09-02
   
© Jean-Pierre SERRA - Réalisation Alain Escobar